ÊTES-VOUS DIGNE DE L'ART OU TÊTE DE LARD ?
Test 1 :
Étais-tu capable à 14 ans, de produire un tableau d'aussi bonne facture ? (Envoie une preuve dans ton comment taire !)

Test 2 :
Peux-tu chanter un air de cette difficulté (pour femme ou homme) sans tomber dans l'escalier ? (Preuve par mp3 !)
De qui est-ce au fait & quel est le titre de ce passage ?
Test 3 :
Peux-tu écrire un poème de cette qualité sans casser ta plume sur ton bureau ?
Au passage le temps
goutte à goutte sans escale sans bruit
il me frôle la joue les soirs d’incubaison
au passage le temps
ses mots en éventail sur le pourtour des yeux
la peau qui transparence à débusquer le je
parmi tant d'autres
être un grand arbre blanc
sur la route immobile épluchée par le vent
attendre jusqu’à mille
Au passage le temps
de plus en plus souvent un poids neuf inconnu qui énigme les gestes
furtif
entre deux huis
les choses d'autrefois
elles paraissaient immenses
les souvenirs s’estompent il reste quelques taches
l’imprononcé de l’être
Elle rêve un chemin qui s’ouvrirait tout seul
pas ces chemins bourbeux où elle s’est blessée dans des sortes de nuits
Une improvisation qui monte et qui descende
taillée crue dans le vert pour regarder tout droit comme on s’endort
ou se perdre à plaisir
des portes tout du long trois dièses à la clef pour s'envoler au vent
pas trop de soleil pas trop d’ombre
mais la brise
sur le visage nu
des voix qui parlent sans urgence
au lointain
le jour
puis...
goutte à goutte sans escale sans bruit
il me frôle la joue les soirs d’incubaison
au passage le temps
ses mots en éventail sur le pourtour des yeux
la peau qui transparence à débusquer le je
parmi tant d'autres
être un grand arbre blanc
sur la route immobile épluchée par le vent
attendre jusqu’à mille
Au passage le temps
de plus en plus souvent un poids neuf inconnu qui énigme les gestes
furtif
entre deux huis
les choses d'autrefois
elles paraissaient immenses
les souvenirs s’estompent il reste quelques taches
l’imprononcé de l’être
Elle rêve un chemin qui s’ouvrirait tout seul
pas ces chemins bourbeux où elle s’est blessée dans des sortes de nuits
Une improvisation qui monte et qui descende
taillée crue dans le vert pour regarder tout droit comme on s’endort
ou se perdre à plaisir
des portes tout du long trois dièses à la clef pour s'envoler au vent
pas trop de soleil pas trop d’ombre
mais la brise
sur le visage nu
des voix qui parlent sans urgence
au lointain
le jour
puis...
Danses-tu comme le faisait le roi Soleil ? As-tu d'autres talents dans le domaine des arts ? As-tu répondu positivement aux trois tests préalables ? Hein ? Oui !
Si oui, cela t'autorise un peu à discuter d'ART en général, d'art classique, d'art moderne, d'art brut, d'art conceptuel... Sinon, tais-toi ou fais-toi couper la langue !
Celle qui a été démolie sur le blog d'un certain Philippe (blog trotter) et qui s'est vue affublée, en plus du qualificatif de "buse en matière d'art" et d'autres invectives ou lazzis du même tonneau sait le faire, elle. En effet cantatrice, pianiste, professeur de chant et de piano, elle écrit aussi des poèmes et des contes avec bonheur et sait faire encore mille autres choses utiles à ses concitoyen(ne)s.
Alors, les boeufs, ce n'est pas derrière la charrue qu'il faut se mettre mais... devant. Et tirez dur car il y a du travail pour défricher toute cette ignorance profonde de ce qu'est l'Art en réalité : un travail sans relâche sur une base minimale de talents que l'on cultive en permanence...
Les boeufs, après les avoir châtrés, on les aiguillonne ! Hue dia !
LPG
Si oui, cela t'autorise un peu à discuter d'ART en général, d'art classique, d'art moderne, d'art brut, d'art conceptuel... Sinon, tais-toi ou fais-toi couper la langue !
Celle qui a été démolie sur le blog d'un certain Philippe (blog trotter) et qui s'est vue affublée, en plus du qualificatif de "buse en matière d'art" et d'autres invectives ou lazzis du même tonneau sait le faire, elle. En effet cantatrice, pianiste, professeur de chant et de piano, elle écrit aussi des poèmes et des contes avec bonheur et sait faire encore mille autres choses utiles à ses concitoyen(ne)s.
Alors, les boeufs, ce n'est pas derrière la charrue qu'il faut se mettre mais... devant. Et tirez dur car il y a du travail pour défricher toute cette ignorance profonde de ce qu'est l'Art en réalité : un travail sans relâche sur une base minimale de talents que l'on cultive en permanence...
Les boeufs, après les avoir châtrés, on les aiguillonne ! Hue dia !
LPG